Cinq années se sont déroulées depuis notre première rencontre.
L’équipe n’a pas changé, juste un peu vieilli, comme tout le monde.
Le principal changement opéré depuis lors est la revente du magasin, boucherie au particulier, situé dans la vieille ville de Durbuy. Il s’agissait de saisir une opportunité financière et de recentrer son énergie sur la production.
La quantité de salaisons, par semaine, reste inchangée : ça tourne toujours aux environs des 2 tonnes. S’il y a moins de colliers d’Ardenne, il y a davantage de jambons cuits et de lard.
On ne peut pas réellement parler de nouveaux produits, mais la demande des clients d’avoir une viande moins salée a été satisfaite grâce à une nouvelle recette d’épices venue de France. Une toute belle découverte !
Les marchés sont restés les mêmes. A savoir quelques restaurants locaux, mais surtout de bons points de vente à Bruxelles ou Manage, via des grossistes.
Enfin, petite évolution et non des moindres, la viande vient davantage des abattoirs de Bastogne et offre donc des morceaux plus ardennais que cela ne l’était avant ! Tout le monde y gagne !
Le principal changement opéré depuis lors est la revente du magasin, boucherie au particulier, situé dans la vieille ville de Durbuy. Il s’agissait de saisir une opportunité financière et de recentrer son énergie sur la production.
On ne peut pas réellement parler de nouveaux produits, mais la demande des clients d’avoir une viande moins salée a été satisfaite grâce à une nouvelle recette d’épices venue de France. Une toute belle découverte !
Les marchés sont restés les mêmes. A savoir quelques restaurants locaux, mais surtout de bons points de vente à Bruxelles ou Manage, via des grossistes.
Enfin, petite évolution et non des moindres, la viande vient davantage des abattoirs de Bastogne et offre donc des morceaux plus ardennais que cela ne l’était avant ! Tout le monde y gagne !
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